Le Syndicat derrière le divertissement
Un arbitre a déterminé qu'en vertu de la convention collective applicable, les machinistes appelés pour un changement d'opéra et qui sont restés (après une période d'attente d'un an) ne sont pas autorisés à travailler.
Un groupe d'employés de transport a effectué un travail à partir de 2 heures du matin le sixième jour et l'employeur a refusé de payer.
Un arbitre a interprété la garantie d'heures d'un employé de maison dans une convention collective de machinistes pour exiger de l'employeur qu'il fournisse le
L'employeur a déposé un grief selon lequel la section locale avait manipulé de manière inappropriée le mécanisme du hall d'embauche afin de générer des primes pour les employés de la section locale.
La question soulevée par le grief était de savoir si l'employeur avait violé la convention collective en omettant de payer le double de l'indemnité de départ.
Appel d'une décision d'un tribunal inférieur qui a jugé que la décision de l'arbitre concernant le congé était manifestement déraisonnable. La Cour a confirmé
Le grief soulevait deux questions principales : (i) les techniciens travaillant dans les cinémas IMAX étaient-ils des " projectionnistes " et donc couverts par la loi sur la protection de l'environnement ?
La section locale a déposé un grief selon lequel les employés auraient dû recevoir une indemnité de congé pour Noël, le lendemain de Noël et le jour de l'An pendant une période temporaire.
Grief portant sur la question de savoir si les employés de la section locale ont reçu un paiement correct de leurs salaires dans le cadre de la production de produits de beauté et d'aliments pour animaux.
La question soulevée par le grief était de savoir si l'employeur avait violé la convention collective en omettant de payer le double de l'indemnité de départ.